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lundi 30 mai 2016

Book Haul #1

Pas un véritable Book Haul dans le sens où je ne parle pas en détail de chacune de mes acquisitions, mais plutôt une petite mise en bouche sur mes prochaines lectures et/ou mes prochaines chroniques.
Et ce que je peux vous dire pour le moment, c'est qu'il y a du bon!!!



samedi 28 mai 2016

Deux romans noirs pour les ados

Et voilà ma deuxième vidéo!
Cette fois-ci je vous présente deux romans, des thrillers pour ados, qui sortent en cette première semaine de juin 2016.




vendredi 27 mai 2016

La fille de Brooklyn

La fille de Brooklyn, 
Guillaume Musso, 
XO éditions, 
484p, Mars 2016.

Aujourd'hui Shame On Me! Je vous parle de mon premier Musso.
Pourquoi Honte sur moi? Et bien pour certain je sais que ce sera la honte parce que j'ai lu un Musso, pour les autres tout simplement parce que je n'en avais jamais lu jusque là.
Alors oui je n'avais jamais lu de Guillaume Musso. Non pas que je pensais qu'il s'agissait d'un auteur pourri, n'en n'ayant jamais lu je n'avais absolument aucun avis dessus (à part le remercier de faire lire autant de gens), mais c'est surtout que c'est un auteur qui se vend très très bien sans que je n'ai besoin de l'avoir lu pour le conseiller. Il n'a pas besoin du travail des libraires ce monsieur. Donc jusque là j'avais passé mon tour.
Et puis finalement la curiosité à été la plus forte. D'abord la couverture, pour une fois, m'a attiré. Ensuite j'en ai entendu et lu tellement de bien partout que je me suis dit "Pourquoi pas?"
Et bien c'était cool! J'ai passé un très bon moment de lecture. Son style est fluide, efficace. On se laisse entraîner dans l'histoire avec plaisir. Il n'y a pas de fantastique ce coup-ci, ce qui, pour moi, est un bon point.

L'histoire est celle d'un écrivain, père célibataire, qui doit bientôt épouser une jeune fille, étudiante en médecine, dont il est éperdument amoureux. Un mois avant leur mariage, alors qu'ils sont en vacances dans le Sud de la France, le couple se dispute. Raphaël s'en va précipitamment, abandonnant Anna. Rapidement il se dit qu'il a un peu sur-réagit, et retourne dans la maison de vacances pour faire ses excuses. Mais Anna a disparue. Il se lance donc à sa recherche, en compagnie d'un de ses amis, ex-flic à la retraire. Raphaël réalise alors, en menant son enquête, qu'il ne connait rien du passé d'Anna. Sa recherche l'emmène jusqu'à New-York sur les traces de la très jeune Anna. 
C'est un roman qui se tient bien. A la fin on a même le droit à un "Ça alors, je ne l'avais pas vu venir!" ce qui est plutôt cool. 

Les deux points qui m'ont dérangés? 
Son obsession pour les enfants. Femmes enceintes, maternité, paternité, enfance... Les réflexions sur le sujet sont hyper nombreuses! Guillaume Mussi a du devenir papa récemment, je ne vois pas sinon d'où pourrait lui venir une telle obsession!
Sa vision de la banlieue parisienne. Alors je suis désolée, mais j'en viens, j'y ai grandi, et je ne garde pas le souvenir d'un endroit aussi déprimant et glauque que celui qui est décrit dans le roman. Chacun à son point de vue sur le sujet, je sais bien, mais il y a des choses bien aussi en banlieue. 

Mais à part ça, j'ai passé un très bon moment. Une bonne lecture pour se détendre. Et surtout une agréable surprise. 

mardi 24 mai 2016

Yesterday's gone

   
Yesterday's Gone, saison 1      Yesterday's gone, saison 1
épisodes 1 et 2.                épisodes 3 et 4.
Sean Platt et David Wright
Outrefleuve, Mars 2016.

Au mois de Mars, Fleuve Editions sortait une nouvelle collection pour la littérature de l'imaginaire. Et pour débuter étaient publiés les deux premiers tomes d'une série de SF post-apocalyptique très originale par sa construction. 
En effet, les deux auteurs ont choisi de créer des romans qui se liraient comme on regarde une série télé.

Nous sommes aux Etats-Unis, il est 2h14 du matin, et tout semble se passer normalement, aussi normalement que d'habitude en tous cas. Sauf qu'à 2h15 la majeur partie de la population américaine disparaît. Comme ça d'un coup. Ça vous rappelle The Leftovers? En effet, sauf que si dans la superbe série de Lindelof et Perrotta le faible pourcentage de disparus n'engendre pas une situation de chaos; ici l'évaporation de 98% de la population est plus que problématique. D'autant plus qu'elle semble avoir été causée par des êtres luisants bien flippants. Et bien que la couverture du premier volume ne soit pas sans rappeler The Walking Dead, vous n'y trouverez pas de zombies.

Bon si vous vous lancez dans cette série ne vous attendez pas à un grand style littéraire. Et de toute façon ce n'est pas ce qu'on lui demande. Ici le style est efficace et addictif. Chaque chapitre est raconté par un personnage, chacun nous donnant son point de vue sur ce qui lui arrive. Peu de personnage sont totalement isolés, car la nature humaine fait que nous n'aimons pas vivre en solitaire. Dès que chacun tombe sur un ou des survivants, ils s'allient. Nous avons donc environ 6 groupes de personnes, dispersés dans l’immensité du territoire américain, qui tentent tous de comprendre ce qu'il se passe, où sont les gens, et qui tentent de survivre face à une menace dont on ne sait, pour le moment pas grand chose. 
Les chapitres sont courts, et se terminent tous par un suspense insoutenable, qui nous oblige à tourner les pages sans s'arrêter. Les personnages sont très variés, du petit garçon de 6 ans adorable au tueur en série véritable chasseur qui se retrouve cette fois chassé. Cela offre un panel intéressant quand aux réactions face aux situations, mais aussi des personnages qui nous plaise plus ou moins, et donc certains dont on veux connaitre la suite des mésaventures.
Deux tomes qui entament une série prévue en 6 saisons. Les réponses, qui engendrent de nouvelles questions, sont apportées au compte goutte, ce qui laisse présager un suspense encore long.
Mon seul espoir, que cette série ne tourne pas à la Lost...

lundi 23 mai 2016

La fractale des raviolis

La fractale des raviolis, Pierre Raufast
Folio, 240p. 
Août 2015.


Il y a des livres dont la première ligne vous promet un agréable moment de lecture, La fractale des raviolis en fait partie.

"Je suis désolé, ma chérie, je l'ai sautée par inadvertance."

Cette révélation va mettre l'héroïne dans un état de rage froide. Elle décide donc de se venger, et pour se faire empoisonne un plat de raviolis, le mets favoris de Marc, son mari. Mais c'était sans compter sur la venue à l'improviste de la voisine qui leur donne à garder l'un de ses fils, pour emmener l'autre à l’hôpital. Il est certain qu'un drame va se produire si elle ne fait rien, mais comme pour l'épisode de Pussemange elle se retrouve tétanisée.
Et là de nous raconter l'épisode de Pussemange, avant de se voir obligé de nous entraîner dans une autre explication, elle aussi nécessaire. Etc, etc...

Et oui vous l'avez compris ce roman construit comme une poupée russe est véritablement original, en plus d'être drôle. Plus on s'éloigne du plat de raviolis plus on se demande comment Pierre Raufast va faire pour nous ramener à cet épisode et nous donner la clé de cet empoisonnement prémédité.  
Je n'avais encore jamais lu un roman de la sorte. J'ai été totalement happée par la construction, mais aussi par l'histoire (même si certains chapitres m'ont moins intéressés que d'autres). L'auteur arrive à nous balader et nous tenir en haleine jusqu'à la fin (une fin dont je ne dirais rien, mais que j'ai adoré), et ce sans avoir recourt à une intrigue palpitante. Nous sommes entraînés d'une histoire à l'autre, comme si nous suivions les vagues faites par un caillou dans l'eau, d'abord en s'éloignant du centre, puis en s'en rapprochant. 

De quoi vous régalez avec une lecture facile et prenante. 

vendredi 20 mai 2016

Bluebird

Buebird, Tristan Koëgel
Didier Jeunesse, Septembre 2015.
315p, à partir de 14 ans.

J'avais vu ce livre au moment de sa sortie, avec cette couverture éclatante, lumineuse, on ne peut pas y échapper. Et puis je n'y avais pas plongé le nez.
Après des conseils, des discussions et des supplications d'autres membres du jury du prix Libr'à Nous pour que nous lisions ce livre qui faisait parti de la dernière sélection, j'ai cédé. Et oui, en effet, ce livre vaut le détour.

Nous sommes dans les années 40 dans le vieux sud américain près du Mississippi. Minnie et son père Curtis arpentent les routes du sud pour jouer de la musique, comme les autres songster de leur époque. De ville en ville, de plantation de coton en plantation de coton, ils égrènent leurs mélodies blues à la guitare et l'harmonica. Mais si cette vie de bohème convient parfaitement à Curtis, qui préfère vivre loin de l'esclavage moderne et du Ku Klux Klan, Minnie elle ne rêve que d'enregistrer un disque.
Une blessure à la cheville va bouleverser leur destin, en mettant sur leur route des personnages haut en couleur et singuliers qui changeront profondément nos deux héros. Minnie en tombant amoureuse de "son fantôme", un irlandais, fils des gardiens sanguinaires de la plantation dans laquelle elle se repose. Puis en découvrant les horreurs pratiquées par le Ku Klux Klan, qui la prive de son père, et la pousse à fuire vers Chicago où elle entame une nouvelle vie.

C'est un roman initiatique fort bien mené et totalement envoûtant. Entre la poussière des routes, la sueur des travailleurs noirs exploités et  brutalisés par la bêtise et le racisme,  et les mélodies blues nous suivons Minnie et les autres personnages avec plaisir. 
Il y a, pendant toute la lecture, des morceaux qui se glissent, dans les pages, et dans nos oreilles. Ne connaissant que très peu le Blues, j'ai écouté avec avidité les morceaux auxquels il est fait référence tout au long de l'histoire. Je me suis même offert l'album King of the Delta Blues Singers de Robert Johnson pour poursuivre un peu plus cette découverte musicale. 

Le seul bémol que je mets, et sans doute dû au fait qu'il s'agisse en priorité d'un roman pour la jeunesse, c'est le basculement vers un roman trop idyllique. Même si les personnages sont confrontés à la dureté de l'esclavagisme, au Ku Klux Klan et à la bêtise humaine, il y a tout de même un aspect un peu édulcoré avec une fin un peu trop "Happy End" pour moi. 
Cela n'en reste pas moins un roman lumineux et envoûtant. 

Et aller, pour le plaisir, et parce qu'il y a sans doute un lien avec l'héroïne crée par Tristan Koëgel, un petit morceau de Memphis Minnie. 






mercredi 18 mai 2016

Challenge contre l'homophobie

Salut à tous!



Si vous vous baladez régulièrement sur la blogosphère dédiée à la littérature, vous avez dû remarquer les nombreux "Challenges" qui l'animent. Sinon, petit rappel des faits:

Un challenge d'abord c'est quoi?
C'est une thématique, ou un roman, ou un auteur, ou un nombre de pages, etc... qu'il faut avoir lu avant une date butoir. 
Pour y participer, il suffit simplement de s'inscrire et de donner régulièrement (pour les challenges longue durée) ou en fin de période, la liste des livres lus correspondants à la donnée de départ, ainsi qu'un court avis sur chacune de ces lectures. 
L'intérêt c'est d'être plusieurs à échanger sur une lecture commune à un instant T. Un peu comme un club de lecture, mais en virtuel. Cela permet de réunir plus de monde et d'horizons différents qu'un club où il faudrait pouvoir se rendre le mardi de 14 à 16h dans la ville de X. On reprends donc le principe des clubs de nos grands-mères, en l'adaptant à la nouvelle société et à la communauté Internet.

Je ne suis pas très friande des challenges. Parce que souvent j'ai déjà lu le roman proposé (et vu tout ce que j'ai à lire, je n'ai pas trop le temps de faire un bis repetita), ou alors les dates ne me conviennent pas (délais trop court, période de challenge commencée depuis déjà trop longtemps, problème que j'ai avec mon manque de régularité sur mes chroniques).
Pourtant cette fois-ci c'est avec plaisir que je me lance dans l'édition 2016 du challenge Contre l'homophobie.


D'ici la fin de l'année, je dois donc lire 6 titres qui traitent de l'homosexualité ou du trans-genre. Ce qui me laisse 7 mois, soit un livre par mois, un ratio facilement tenable il me semble. De plus le sujet m’intéresse, et cela me permettra de proposer des chroniques sur le sujet tout au long de l'année. Un livre par bande colorée du drapeau.
Je ne sais pas encore dans quel ordre je vais faire mes lectures mais j'ai déjà commencé à piocher dans ma bibliothèque et j'ai retenu (pour le moment):

  • Aristote et Dante découvrent les secrets de l'univers de Benjamin Alire Saenz chez Pocket Jeunesse.
  • Garçon ou fille de Terence Blacker chez Galliamrd (Scripto).
  • Will & Will de John Green et David Levithan chez Gallimard (Scripto).
Ensuite hors de ma bibliothèque j'ai pensé à 
  • Moi, Simon, 16 ans, homo sapiens, de Becky Albertalli chez Hachette roman.
  • Mes deux papas, de Juliette Parachini-Deny et Marjorie Béal chez Tom'Poche.

Si vous avez d'autres titres à me conseiller je suis preneuse, car là je ne suis qu'à 5.
Et si vous souhaitez participer, n'hésitez pas à demander, je vous donne toutes les infos et les liens.

Et finalement, ça donne quoi ces lectures?

mardi 17 mai 2016

Étonnants Voyageurs, quand Saint-Malo t'emmène en voyage

Salut à tous!


Et voilà, c'est terminé.
Je rentre tout juste de Saint-Malo où je viens de passer un super week-end. Épuisant, mais tellement enrichissant. J'y ai fait des rencontres magiques.



D'abords dans l'équipe avec laquelle j'ai travaillé. Des personnes de tous âges, de tous horizons, de tous milieux, mais tous tellement intéressants! Moi qui stressais tant de ne pas être à la hauteur, j'ai été comme un coq en pâte et si bien accueillie. Franchement, rien que pour ça, l'expérience en valait le coup!


Ensuite avec des éditeurs, passionnés par leur métier. Des gens qui font rêver et inspirent le respect.

Enfin avec des auteurs. Je ne suis pas une habituée des salons, la plupart du temps, je ne sais pas quoi dire aux auteurs. C'est vrai quoi, si je décide d'aller les voir c'est parce que j'ai aimé leur(s) roman(s). Mais je ne suis pas la seule. Nous devons être des centaines par jour à leur dire. Alors quel intérêt pour eux d'entendre que moi aussi j'ai aimé? Je me suis toujours posée la question. Et puis cette fois-ci quelque chose s'est débloqué en moi. J'avais des choses à leur dire, autre que "j'ai adoré" ou "j'ai beaucoup aimé". Je pouvais leur dire pourquoi, argumenter, et me confronter à ce qu'ils avaient vraiment voulu dire ou faire passer. Voir si ma compréhension de tel ou tel aspect était la bonne où si j'avais décollé pour Mars. Sans doute l'exercice de ce blog m'a-t-il permit de me sentir plus à l'aise.

J'ai donc pu rencontrer l'équipe d'U4. Alors là, grand moment pour moi! J'ai toujours l'impression d'avoir l'air d'une groupie hystérique. Et puis finalement, la discussion était très intéressante. D'autant plus que j'ai pu discuter avec Vincent Villeminot de son prochain roman (à paraître le 1er juin chez Casterman, mais dont je vous reparlerai), que je suis en train de lire. C'était donc super intéressant. J'ai été très heureuse de pouvoir dire à Carole Trébor à quel point j'ai aimé son personnage de Jules, à quel point il m'a touché. D'autant plus qu'au moins 6 mois après la lecture, il me reste en tête. Une première rencontre qui augurait du bon pour la suite.
Sur le stand j'ai aussi eu la chance de pouvoir discuter avec des membres de l'équipe éditoriale de Syros, et surtout d'un titre à venir chez eux, qui m'a beaucoup intéressée et touchée. 
Aaargh c'est dur de vous raconter des choses sans en dire trop! Mais si je commence à parler de Et mes yeux se sont fermés de Patrick Bard, je vais me mettre à en faire une chronique. Ce qui n'est ni le lieu, ni le moment.
Nous avons parlé du traitement du sujet de ce roman, de la manière d'en parler autour de moi, de la manière de le conseiller, et de le vendre aussi, parce qu'après tout c'est la base de mon métier. Une discussion vraiment intéressante. 

J'ai aussi pu rencontrer Johan Héliot, et lui prendre la suite de sa série CIEL 2.0, ce qui va me permettre d'en poursuivre la lecture.

J'ai pu avoir une discussion à bâtons rompus avec Wilfried Lupano et lui poser plein de questions sur son travail de scénariste de BD. Comment se passe la recherche d'un illustrateur, surtout pour un titre comme Un océan d'amour; la collaboration pour des projets si divers et variés. Nous avons beaucoup discutés de la création d'Un océan d'amour (que j'ai enfin acheté, après l'avoir tant aimé). Passionnant.

Navrée, mais comme le personnage principal je n'aime pas trop les sardines à l'huile. Je leur préfère les maquereaux à la moutarde...


Olivier Bourdeaut est terriblement sympathique.Et pourtant, avec lui, j'ai vraiment eu l'impression d'être une groupie. Vu mon enthousiasme après la lecture de En attendant Bojangles, je vous laisse imaginer!

Et puis il y avait les auteurs dont je m'occupais. Qui m'ont épatée par leur gentillesse et leur disponibilité auprès du public. Des moments très émouvants. Des discussions passionnantes sur des sujets sur lesquels je ne connais pas grand chose. Michèle Kahn qui m'a donné terriblement envie de lire son roman historique La clandestine du voyage de Bougainville. Un personnage féminin sur lequel je ne savais rien, et dont j'ai hâte de découvrir le destin extraordinaire.


Un week-end riche en émotions, en découvertes, mais pas pour mon compte bancaire. Ma PAL s'est encore dangereusement élevée, bien que je me sois trouvée très raisonnable. 



samedi 14 mai 2016

Le noir est ma couleur

Le noir est ma couleur, T1 à 5, 
Olivier Gay, 
Rageot,
Juin 2014 à Février 2016, 
A partir de 13 ans.


Bon, il me semble que j'ai trouvé un moyen encore plus radicale pour prendre encore plus de retard dans mes chroniques... La version vidéo!
Et oui ça y'est je tente le coup. Pour une première je me suis bien amusée pour le tournage. Le montage c'est une autre paire de manche. 
Ça fait un petit moment que j'y pense, que je me tâte, que je n'ose pas. Et puis, à force d'en regarder, d'en parler avec Aurélie, j'ai fini par tourner. Bon ensuite la vidéo est restée au moins 15 jours dans mon ordi sans que personne ne la voit. Et puis hier soir, j'ai regardé la vidéo de Bulledop, et je me suis dit "Vas-y! Go!"








Merci Bulledop, tu as réussi ton pari (avec moi en tous cas), tu m'as mis le coup de pied aux fesses qu'il me fallait. 






Maintenant il ne me reste plus qu'à m'améliorer.