Divergente Tome 3, Allégeance,
Veronica Roth,
Nathan,
Mai 2014, 464p.
Fin 2011 je craquais sur une nouvelle dystopie publiée chez Nathan Jeunesse. Une héroïne pas trop girly, qui aime la baston, dans une société policée où elle risque sa vie. J'y retrouvais des accents des sagas Uglies ou Hunger Games. Du bon quoi.
Un an plus tard sortait le tome 2, que je trouvais décevant... Trop brouillon, mou, la magie n'y était plus.
Et voici enfin le troisième et dernier tome.... Attention! Une fin en apothéose ou en soufflé alors.... Roulement de tambours...
Passez votre chemin!
Je suis navrée d'avoir lancé autant de lecteurs sur une série si prometteuse, qui n'est finalement qu'un échec. Non pas que c'est totalement nul. Il ne faut pas dire ça non plus. Mais franchement, 300 pages de blabla qui servent de remplissage. Une torture. On attend que l'action avance, et tout se met en place lentement. Les états d'âmes de Tris et Tobias, qui s'alternent et cherchent à donner un côté dramatique n'en finissent pas. J'ai bien cru que je n'arriverai jamais au bout. Et ça aurait été dommage car les 100-160 dernières pages valent le coup.
Finalement si on ne prends que ces dernières pages, la série se finit intelligemment. Mais pourquoi avoir trainé en longueur avant? J'en viens à me demander si l'éditeur de la jeune Veronica Roth ne lui a pas imposé la formule de la trilogie. Savoir que Machin met son stylo rouge dans sa bouche avant de sortir de la pièce alors qu'il n'a aucun impact sur la trame narrative... Non je m'en fiche. Trop de détails d'une lourdeur sans fin.
Alors je ne vais pas, moi même en faire des tonnes.
Si vous avez aimé le début de la saga, lisez la fin ça suffira...
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