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dimanche 28 août 2016

Et mes yeux se sont fermés

Et mes yeux se sont fermés, Patrick Bard, 
Syros, environs 200p
A partir de 14 ans.

Sortie annoncée pour le 25 août 2016

Ce roman est un véritable coup de poing. Certes l'adolescence n'est pas une période facile, et tout le monde connait de forts changements à ce moment de la vie. Mais Maëlle change un peu trop au goût de sa mère. Changement de garde robe, elle abandonne les tenues féminines pour des tenues informes et de couleurs sombres, elle passe de plus en plus de temps sur Internet, sur son portable, ses résultats scolaires sont en chute libre, elle devient insolente, et quitte son petit ami. Mais Céline, sa mère, ne sait pas trop quoi lui dire, ni comment aborder le sujet sans la braquer. Pourtant ce qu'elle ne voit pas c'est qu'insidieusement, petit à petit Maëlle se retrouve endoctrinée. Comment cette jeune fille pleine de vie et d'idéaux se retrouve-t-elle en Syrie? C'est ce que nous raconte ce roman en partant de la fin, de son retour en France.

Maëlle qui devient Ayat, Ayat qui fuit vers le Shâm en compagnie d'une de ses sœurs pour faire de l'humanitaire et aider les enfants Syriens assassinés par les occidentaux et les mécréants. Mais pour aider, il lui faut se convertir, et se marier surtout à un combattant du Shâm. Un garçon qu'elle ne connait que par messages échangés sur Facebook et SMS. Un inconnu qu'elle va soutenir, qui devra lui faire un enfant, parce que Dieu le veut. 
A travers ce roman choral qui croise les témoignages de tous ceux qui ont croisés et vivent de nouveau aux côté de Maëlle/Ayat, on découvre la manipulation et l'endoctrinement d'une jeune fille pour le Djihad. Elle qui a grandit dans une famille athée ne connait rien à l'Islam, rien d'autre que ce que ses sœurs, qui tissent leur toile autour d'elle par le biais de Facebook, lui en ont dit. 
Et puis en Syrie c'est la réalité. Loin des messages et des vidéos qui l'ont tant fait rêver. Elle qui était pleine d'idéaux et de combativité, de volonté d'améliorer le monde, et de suivre ceux qui lui montrent le bon chemin à suivre, se retrouve confrontée à un univers de violence tout à fait différent de son imaginaire. Plongée dans la guerre, la vraie, elle n'est qu'une ado, et la peur la rattrape. 

Ce roman est véritablement poignant. Parce qu'il nous permet de toucher au plus près cet endoctrinement qu'on ne comprend pas. Dans les témoignages les familles des jeunes partis faire le Djihad disent que tout est allé très vite, et qu'ils ne pensaient pas que ça irait jusque là. Ici c'est pareil. Mais Patrick Bard, fort de son expérience journalistique nous donne quelques clés de compréhensions. Pas toutes, mais une bonne partie. Je pense qu'il est bon que de nombreuses personnes lisent ce roman, et pas seulement des jeunes. Il permet de déceler ensuite les changements au plus tôt, et d'anticiper ce départ vers la mort de ces jeunes.
Nous sommes ici à la frontière entre fiction et témoignage tant ce récit m'a semblé proche de la réalité. Et puis Patrick Bard soulève très justement et avec beaucoup d'intelligence la question du retour en France, du désendoctrinement en vue d'une réinsertion. Contrairement à ce que de nombreuses personnes disent, on ne peut pas les isoler et les parquer comme des bêtes. Ce sont des humains. Des gens perdus, des gens avec des espoirs et des rêves trop grands qui ont croisés la route des mauvaises personnes. Mais pour ça il faudrait plus d'Aïcha.

Merci aux éditions Syros et à Patrick Bard pour ce roman indispensable. 

mardi 23 août 2016

Des hommes de peu de foi

Des hommes de peu de foi, Nickolas Butler
éditions Autrement, 
544p. 

Sortie prévue le 24 août 2016.


Oh la la! Qu'il va être difficile de passer derrière Suspends Ton Vol pour faire une chronique sur ce magnifique roman de Nickolas Butler! 
Je vais tout de même essayer!


Voici un grand roman américain, fresque de 57 années à travers les portraits de 3 hommes. 3 générations. 3 parties. 3 visages de l'évolution de la place de l'homme dans la société racontés à travers le microcosme d'un camp scout.
D'abord en 1962. Nelson est un jeune scout, le clairon de sa compagnie. Pas d'amis, petit, son père se désintéresse de lui et ne profite pas du séjour pour des activités père-fils comme les autres pères. Heureusement, Wilbur, chef du camp scout, ancien soldat, soutien ce petit garçon un peu perdu. Il voit en lui un homme à l'ancienne, comme ceux que sa génération admirent. Un vrai scout, respectueux des règles et de l'honneur.
1996, Nelson est devenu chef du camp de Chippewa. Revenu de la guerre du Vietnam traumatisé, il se force à faire respecter les valeurs qui sont les siennes, les valeurs anciennes de la société et du scoutisme.
2019 enfin, Nelson est devenu vieux. Toujours chef du camp scout il doit désormais lutter contre une image conservatrice du scoutisme. Ne viennent encore que des réactionnaires misogynes et des gamins collés à leurs smartphone et tablette. 

A travers 3 époques, Nickolas Butler nous présente 3 générations d'hommes. Des hommes qui essaient d'être bons, qui tentent de trouver une place dans la société qui mue et qui modifie leur rôle tout en les voulant toujours héroïques. Car c'est bien là les questions soulevées par ce roman qui ne juge pas: qu'est-ce qui fait d'un homme un héro? Qu'est-ce qu'il faut faire pour être bon?

En filigrane la question de l'armée. Comme si le seul moyen d'être un héro et un homme de bien à la sortie d'un camp scout c'était de s'engager dans l'armée. Quelque soit l'époque, quelques soient les valeurs. Du moins dans l'idée de ses hommes. Pourtant Nickolas Butler semble nous montrer que c'est dans leur quotidien que les hommes doivent chercher la clé. Un héroïsme ordinaire qui semble valoir beaucoup plus que tous les actes de bravoures au combat. 

Sans jamais juger, Nickolas Butler offre un panorama de la société américaine sur les 50 dernières années, et surtout sur le rôle et la place des hommes. Magnifique, prenant, Des Hommes de Peu de Foi est véritablement un roman à lire dans cette rentrée littéraire!

lundi 22 août 2016

Bouche cousue

Bouche cousue, Marion Muller-Colard,
Editions Gallimard, collection Scripto
112p, janvier 2016
A partir de 13 ans



Encore un titre pour le challenge contre l'homophobie! 3ème chronique rédigée, 4 livres lus. Cette fois-ci je reparle d'homosexualité, et du côté des filles ce coup-ci. On varie les plaisirs, on varie les lectures même si je reste dans la même tranche d'âge!


L'histoire est celle d'Amandana, dite Amande, 30 ans. Les relations avec sa famille sont assez compliquées pour elle. Même si elle participe physiquement toutes les semaines au déjeuner familial dominical, son objectif est d'y être invisible, de rester dans l'ombre et de servir de faire valoir à sa grande sœur. Il n'y a qu'avec Tom, 15 ans, son neveu, enfant non désiré et arrivé beaucoup trop tôt, qu'elle entretien un lien privilégié. 
Ce dimanche l'ambiance est à couper au couteau. Tom ne lâche pas ses pieds du regard. Il a l'air de chercher à être encore plus transparent qu'Amande, pourtant maîtresse dans cet art. Alors quand la petite sœur de Tom balance à la famille que la mauvaise ambiance est due au fait que Tom ait embrassé un garçon, tout bascule. Amande doit aider Tom. Et pour ce faire elle lui adresse une lettre dans laquelle elle lui raconte sa propre histoire. Ses 15 ans, quand elle a découvert qu'elle était amoureuse d'une camarade de classe.

Le texte est très pudique et en même temps Amande y dévoile beaucoup d'informations à son neveu. Elle y parle de sa solitude dans ce corps qu'elle ne comprends pas toujours. Elle y parle de sa rencontre avec Marc et Jérôme qui lui offrent une bulle de bien être à l'opposée de sa famille silencieuse et drapée dans les apparences. L'épisode de ses premières règles est très significatif sur les non-dits qui gouverne sa famille. On ne parle pas de ces choses là. On ne parle pas d'amour, le sexe et le désir ne semblent pas exister. Et si l'on n'en parle pas, c'est sans doute parce que c'est sale s'imagine Amande. Car à la maison c'est la propreté (sa mère tient une laverie automatique) et l'ordre (le lit de ses parents toujours au cordeau) qui règnent en maîtres.
Et l'auteur, tout en finesse nous fait comprendre les dangers de ne pas parler d'amour et de sexualité à ses enfants. Une fille enceinte l'année de son bac, mariée dans la foulée pour éviter l’opprobre. L'autre fille qui, à 30 ans, n'est toujours pas épanouie dans sa sexualité et ses relations amoureuses, qui continue de se brider et de se rejeter. En écrivant ce texte Amande souhaite que Tom échappe au destin qu'elle-même a subit. Elle veut lui faire comprendre qu'il ne doit pas éteindre son désir sous la gifle de son grand-père, comme elle l'a fait avant lui.

Ce texte, très court et sensible, est à mettre entre les mains de tous les ados, qu'ils se cherchent ou qu'ils se soient trouvés, qu'ils soient homo ou hétéro... il leur fera comprendre combien parler d'amour et de désir est important pour s'épanouir.

samedi 20 août 2016

Cette fille c'était mon frère

Cette fille c'était mon frère, 
Julie Anne Peters, chez Milan
384p.
A partir de 13-14 ans.


4ème roman lu pour le challenge contre l'homophobie -même si je ne poste pas les chroniques dans l'ordre de mes lectures-, celui-ci ne parle pas d'homosexualité. Mais d'un sujet encore plus tabou en littérature, d'autant plus en littérature de jeunesse. Le transgenre. Malgré tout, je me suis dit que la LGBT ne m'en voudrait surement pas de parler de transgenre dans un challenge contre l'homophobie. Et j'espère que les administrateurs du challenge non plus. ;)


L'histoire est celle de Regan, une jeune lycéenne qui aurait une vie tout à fait banale si sa sœur n'était pas née avec un handicap. Un handicap qui transforme leurs vies à toutes deux en cauchemar, puisque Luna est née dans le corps d'un garçon. Ses parents l'ont appelé Liam, et leur père voudrait avoir avec "son fils" une véritable relation d'homme à homme. Regan est la seule à connaitre le secret de sa sœur, et ce secret la pèse, d'autant plus qu'elle ne sait pas bien qu'elle position adopter face à cette situation qu'elle juge "hors norme".

Ce roman est magnifique! Il aborde par plusieurs angles la souffrance d'un adolescent transgenre qui cherche à faire sa transition aux yeux du monde et qui se retrouve confronté à la colère, au dégoût, à l'incompréhension, au rejet... Luna est finalement comme toutes les jeunes filles, elle souhaite être aimé pour ce qu'elle est réellement. Mais dès qu'elle ne montre, ne serait-ce qu'un petit bout d'elle, les gens la rejettent. Elle se doit donc de jouer son rôle, jour après jour, celui de Liam, dans la peau d'un être qui n'est pas elle. 
Et cette transition est d'autant plus difficile lorsque l'on a un père macho, misogyne, et qui refuse l'idée même que son fils puisse être gay (ce qui pourtant serait, selon lui, un moindre mal). Comment lui faire comprendre qu'il n'est pas un mauvais père parce qu'il n'arrive pas à nouer une relation père-fils idéale, mais parce qu'il n'a jamais vraiment regardé son fils au point de la voir vraiment derrière les apparences? Comment lui faire accepter que toutes ces années il s'est trompé?
Heureusement pour soutenir Luna il y a sa petite sœur, Regan. Mais Regan n'a pas choisi le combat de Luna. Et elle semble le subir parfois un peu trop lourdement. Partagée entre son amour pour sa sœur, son amour pour son frère (car oui ce personnage de Liam, même s'il est faux, elle l'aime), et son désir de passer inaperçue et de vivre une vie normale. Elle se sent étouffée par sa sœur, obligée de mener un combat qui n'est pas le sien et dont elle ne veut pas. C'est un personnage particulièrement intéressant, qui nous montre toute l'ambivalence face au désir d'un être aimé qui n'est pas le notre. 
Et puis il y a Allie, la meilleure amie depuis l'enfance. Celle qui pense que Liam est gay, qu'il ne fera jamais son coming-out et qu'il finira par l'épouser, elle qui l'aime depuis si longtemps. Allie à qui Luna, Liam et Regan cachent si longtemps la vérité.
Et le beau Chris, celui qui cherche à percer la carapace de Regan. Celui devant lequel Regan fond tant et si facilement.

Ce roman est vraiment magnifique. Il parle de combat bien entendu. D'un combat pour devenir soit même. D'une chenille qui cherche à briser son cocon pour devenir papillon dans un monde où l'on doit rester chenille toute sa vie. Mais il nous parle aussi, et surtout d'amour. D'amour de soi, de désamour de soi, amour de l'autre, amour sororal, amour familial et premier amour. 
J'ai lu pas mal de critiques qui trouvaient qu'il y avait des longueurs. Personnellement je ne les ai pas senties. J'étais totalement envoûtée par cette histoire hors du commun et troublante. Car qui ne se pose pas la question de ce qu'il ferait à la place de Regan, à la place des parents de Liam/Luna  ou à la place d'Allie à la lecture de ce livre? 
Pour moi ce roman aborde la thématique du transgenre avec, ce que je pense être, de la justesse. Une réussite.

lundi 15 août 2016

Rentrée littéraire 2016



Attention, dans moins de 3 jours c'est la déferlante qui commence!!!!

Et si cette année, sur le papier, la rentrée littéraire ne m'emballait pas des masses, finalement il y a tout de même quelques lectures qui m'ont vraiment vraiment plu.
J'ai reçu beaucoup, beaucoup de choses à lire. Je n'ai même pas eu le temps d'en lire la moitié. Entre la rentrée littéraire adulte, celle de la jeunesse, les challenges, et puis j'avoue que j'ai fais quelques lectures pour mon plaisir aussi. C'est important de lire un livre quand on en a envie!
Et puis de toute façon il est important de ne pas tout lire de la rentrée littéraire, jouer le jeu de la frustration des éditeurs! Voir la pile de ce que l'on souhaite lire augmenter, augmenter... Et voir toujours plus de nouveaux romans en librairie...


L'actu en patates, blog.lemonde.fr



Alors comment vous parler d'une partie des 560 romans prévus en littérature adulte, plus de ceux qui doivent sortir en jeunesse? Ouf je ne fais pas les essais, ni les BD ou les beaux-arts... Après réflexion je me dis que sous forme de calendrier ça devrait-être pas mal. Qu'en pensez-vous? 

Attention, c'est liste n'est pas exhaustive! Elle ne présente que les titres que j'ai reçu, ou dont j'attends avec impatience la sortie pour pouvoir les lire quand je n'ai pas eu la chance de les recevoir. 

17 Août 2016:
  • Vivre près des Tilleuls par L'AJAR aux éditions Flammarion. Lu et aimé, bientôt la critique.
  • La Valse des arbres et de Ciel de Jean-Michel Guenassia chez Albin Michel. Je l'attends avec impatience.
  • L'année la plus longue de Daniel Grenier chez Flammarion. Pas encore eu le temps de mettre le nez dedans, mais très intriguée.
  • Repose-toi sur moi de Serge Joncour chez Flammarion. J'avais envie, et puis les avis sont pour le moment trop mitigés pour que je me lance.
  • Soyez imprudent les enfants de Véronique Ovaldé chez Flammarion. Je me le garde pour la fin.
  • Sous la vague d'Anne Percin au Rouergue. Jamais lu Anne Percin chez les adultes, mais la thématique me freine un peu.
  • L'administrateur provisoire d'Alexandre Seurat au Rouergue. Abandonné. Non mais non. Je n'y arrive pas. 
  • 14 Juillet d'Eric Vuillard chez Actes Sud. Commencé et pour le moment je le trouve très bon.
  • Un enfant plein d'angoisse et très sage de Stéphane Hoffmann chez Albin Michel. Oh zut j'avais oublié celui-ci alors que l'idée me tente beaucoup.
  • Lithium d'Aurélien Gougaud chez Albin Michel. Un premier roman qui dans l'idée me fait penser à Hell de Lolita Pille version trentenaire. Pas encore lu.
  • Le grand jeu de Céline Minard chez Rivages. Alors j'avais envie, mais j'ai vu les avis et du coup je crois que je passe mon tour...

18 août 2016:

  • Lucie ou la vocation de Maëlle Guillaud aux Editions Héloïse d'Ormesson. Heu... Un peu oublié, mais dans mon souvenir pas trop mal.
  • L'archipel d'une autre vie d'Andreï Makine au Seuil. Magnifique.
  • Une comédie des erreurs de Neil Zink au Seuil. Je le veux! Je l'attends! Je le désire tant!
  • Amour Monstre de Katherine Dunn chez Gallmeister. Sûrement ma prochaine lecture tant ça me titille. 
24 août 2016:


  • Des hommes de peu de foi de Nickolas Butler chez Autrement. Génial!
  • L'éveil de Line Papin chez Stock. Je pense que je vais le lire juste pour découvrir le style de ce nouvel auteur, parce que l'histoire en elle-même...
  • Une fille et un flingue d'Ollivier Pourriol chez Stock. Commencé. Abandonné. Pas mal mais j'ai bien peur que ce ne soit pas une idée de sortir un tel titre dans la rentrée littéraire. En fait je ne vois pas l'intérêt de le sortir dans la masse des romans d'août-septembre.
  • Station Eleven d'Emily St. John Mandel chez Rivages. Je tourne autour, encore et toujours et pour le moment je n'ai pas fais la grand saut alors que je n'entends que des avis plus que positifs!
  • Songe à la douceur de Clémentine Beauvais chez Sarbacane. Un roman jeunesse que j'attendais avec beaucoup d'impatience et de curiosité. Je l'ai commencé. Mis en pause je vais le reprendre depuis le début. Je n'étais pas dans le bon état d'esprit la première fois, et je n'ai pas trouvé le rythme. Et pourtant ce rythme est primordial pour cette lecture! Alors comme je ne veux pas gâcher...


25 août 2016:


  • Une bouche sans personne de Gilles Marchand Aux Forges de Vulcain. Mon chouchou.
  • Minnow, un roman de James E. McTeer II aux Editions du Sous-sol. Ah zut, celui-ci aussi il m'était sorti de la tête.
  • The Girls d'Emma Cline chez Quai Voltaire. Comme le Simon Liberati de cette rentrée 2016, California, un roman autour de Charles Manson. Mais c'est celui-ci qui me donnait le plus envie. A lire prochainement.
  • Et mes yeux se sont fermés de Patrick Bard chez Syros. Un peu de jeunesse. Et du très bon!
  • Le copain de la fille du tueur de Vincent Villeminot chez Nathan. Encore de la jeunesse, et c'était cool.

31 août 2016:
  • Babylone de Yasmina Reza chez Flammarion. Un auteur que j'aime beaucoup pour son théâtre et dont je dois ici découvrir la littérature.

1er septembre 2016:
  • Les pêcheurs d'étoiles de Jean-Paul Delfino aux éditions Le Passage. Un très beau roman, très poétique sur le Paris et l'art en 1925. Un beau voyage dans le temps.
  • Rebelle du désert d'Alwyn Hamilton chez Pocket Jeunesse. Heu, là je ne sais pas. Sans doute que je vais passer mon tour...

7 septembre 2016:
  • Le vieux Saltimbanque de Jim Harrisson chez Flammarion. Dernier livre de Jim Harrisson qui raconte la fin de sa vie. J'ai commencé et ça laisse présager du bon!

9 septembre 2016:
  • Les pluies de Vincent Villeminot chez Fleurus. Encore un nouveau titre de cet auteur prolifique. Encore un titre que je veux et que j'attends!

14 septembre 2016:
  • Génération K, tome 1, de Marine Carteron au Rouergue. Encore de la jeunesse, et qui déboîte! Hâte de vous en parler.
  • Illuminae d'Amie Kaufman et Jay Kristoff chez Casterman. Autant vous dire qu'il me brûle de me plonger enfin de ce titre qui m'intrigue et m'attire!

15 septembre 2016:
  • Watership Down de Richard Adams chez Monsieur Toussaint Louverture. Un classique de la littérature anglaise de nouveau publié en français. Une découverte pour moi de ce titre qui est l'un des livres les plus vendus au monde!
  • Qui m'aime me suive! d'Emma Moss chez Slalom. Encore un thème en jeunesse qui me branche plutôt chez Slalom, mais vu ma déception la dernière fois je suis plutôt frileuse désormais.
  • Le sacre des trois de J.D. Rinehart chez Pocket Jeunesse. Si j'ai le temps...

22 septembre 2016:
  • Guide de survie pour le voyageur du temps amateur de Charles Yu aux Editions Aux Forges de Vulcain. Un titre de SF pour la rentrée littéraire il fallait oser. Personnellement il faudrait peut-être, si j'ai le temps, que je retente, mais j'ai abandonné faute de bien comprendre ce que je lisais...


Et voilà donc tous les titres dont j'espère arrivé à vous parler prochainement. En espérant qu'il n'y ait pas de nouveaux venus trop nombreux qui s'intègrent...
Encore pas mal de boulot en perspective et je suis loin d'être prête. 
Allez, haut les cœurs!