Villa avec piscine, Herman Koch
Belfond, 444p.
Vous vous souvenez d'Herman Koch? Il y a 2 ans, les éditions Belfond publiaient Le diner. Un chef d'œuvre! De la noirceur humaine à l'état pur autour d'un diner au restaurant. Cette année il revient avec un nouveau roman plus estival. Quoique le soleil n'arrive pas à éclairer totalement les ombres au tableau de ces vacances entres amis...
Marc Schlosser est médecin, mais un petit médecin généraliste. Assez laxiste, il offre une oreille compatissante à ses patients et leur prescrit facilement les pilules du bonheur dont ils ont besoin, voir envie. Mais voilà qu'il se retrouve convoqué par le Conseil de l'Ordre des Médecins. Erreur médicale ou faute intentionnelle, c'est toute la question qui se pose. Comment a-t-il fait la connaissance et lié des liens avec ce patient, comédien de théâtre très célèbre? Que s'est-il passé au court de cet été, dans la villa avec piscine pour que les sentiments d'amitié se transforment petit à petit?
Herman Koch nous montre de nouveau les côtés les plus sombres de l'espèce humaine. Nous sommes mauvais. Animaux les plus primaires quand il s'agit de défendre les siens, sa tribu. Nous perdons alors toute moralité et toute sociabilité. C'est du moins ainsi que nous dépeint l'auteur.
J'ai moins aimé que Le diner. J'ai trouvé ce roman ci moins subtil que le premier. Et le personnage de Marc m'a été tellement antipathique tout du long du roman que j'ai eu assez de mal à aller au bout. Sa vision du corps, de l'enveloppe charnelle de l'humain est tellement... laide. C'en est véritablement dérangeant.
L'histoire est véritablement prenante, et on se demande où il veut nous mener, mais d'un autre côté Marc est un personnage aux pensées trop dérangeantes pour moi pour que j'y adhère un tant soit peu.
Une lecture qui me laisse un gout mitigé.
Herman Koch nous montre de nouveau les côtés les plus sombres de l'espèce humaine. Nous sommes mauvais. Animaux les plus primaires quand il s'agit de défendre les siens, sa tribu. Nous perdons alors toute moralité et toute sociabilité. C'est du moins ainsi que nous dépeint l'auteur.
J'ai moins aimé que Le diner. J'ai trouvé ce roman ci moins subtil que le premier. Et le personnage de Marc m'a été tellement antipathique tout du long du roman que j'ai eu assez de mal à aller au bout. Sa vision du corps, de l'enveloppe charnelle de l'humain est tellement... laide. C'en est véritablement dérangeant.
L'histoire est véritablement prenante, et on se demande où il veut nous mener, mais d'un autre côté Marc est un personnage aux pensées trop dérangeantes pour moi pour que j'y adhère un tant soit peu.
Une lecture qui me laisse un gout mitigé.
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